[Admin] Airi AIWA

Photo d'identité

Airi AIWA

Nom : Aiwa 哀話 [Triste Histoire]
Prénoms : Airi 愛裡 [Dans L'amour]
Âge : Presque 19 ans

Date de Naissance: née le 11 février 1991
Nationalité : Mère anglaise et père japonais qui ne la pas reconnue, née au Japon
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Profession : Travaille / Professeur d'Art Plastique

Pouvoir? : : Etant une infectée, Airi a de grandes capacités. Elle a une grande maitrise sur les sentiments des gens ce qui lui permet d’obtenir de grande choses d’eux. La jeune fille peut facilement vous mettre dans une peur sans pareille pendant des jours, comme vous rassurer ou encore aspirer votre bonheur pour se sentir plus à l’aise. Elle a aussi le pouvoir de voir ce que ressentent les gens de son œil droit et de savoir s’ils disent la vérité de l’autre.

Description Physique : [ 5 Lignes minimum] Airi a un physique très enfantin. Elle n’a ni poitrine, ni boutons d’acné. Sa peau est particulièrement pâle et elle a beau se mettre au soleil, elle ne noircie jamais mais rougit dès qu’elle reste plus d’un quart d’heure sous les rayons de cet astre, qu’elle ait mis de la crème ou pas. Niveau taille, elle n’est vraiment pas très grande, à peu près un mètre quarante-cinq, peut-être un peu plus. Mais ce que l’on peut dire c’est qu’elle n’est pas franchement grosse non-plus ! Elle ne pèse que tente kilos et malgré toute les sucreries qu’elle ingurgite, son poids ne change pas.
Ses cheveux blancs aux reflets bleutés sont assez long, coupés en un dégradé très visible. Son crâne étant recouvert de mèches rebelles, elle a préféré mettre trois barrettes pour encadrer son visage, évitant la catastrophe que cela provoque sans. Effectivement, si ses cheveux ne sont pas tenus, ils viennent recouvrir la quasi-totalité de son visage d’enfant, laissant apparaitre une figure effrayante.
Une autre grande particularité dans le physique de la demoiselle reste bien ses yeux. Depuis les tests qui ont étés fait sur elle, ses yeux, tout comme ses cheveux, ont changés de couleurs. Née avec deux yeux bleus, elle est ressortit du laboratoire avec un œil rose criard et l’autre jaune orangé. Certes, elle avait toujours trouvé que les yeux verront c’était très sexy, dans son cas, c’était différent. Elle voyait les sentiments des gens de son côté rose et leur honnêteté de l’autre. Tout ceci était écrit au-dessus de leur tête dans des caractères morbides et des lettres semblant avoir du mal à rester en lévitations.
Son look est très, comment dire ? Personnel ? Elle ne porte que des gilets une à deux fois trop grand pour elle, à quatre-vingt-dix pourcent à rayures flashy. La jeune fille aime bien ajouter à ce haut une cravate colorée ou un petit nœud tape-à-l’œil. En général, sous ce vêtement, elle porte un T-shirt léger souvent blanc ou gris.
Pour le bas, elle porte de tout, sauf des pantalons. Autant dire qu’elle ne porte que des jupes, occasionnellement des leggins sous son jupon multicolore. La plus part du temps, elle met des bas ou chaussettes longue à rayures couleur arc-en-ciel sous ses converses. Il faut savoir que Airi ne porte que des converses et rien d’autre. Par contre, pour compenser, elle en a de toutes les couleurs ! Sa paire préférée reste les oranges mais elle aime aussi beaucoup les grises avec un lapin rose imprimé sur le côté.

Description Morale : [ 5 Lignes minimum]
"Laisser tomber? T’as rêvé la vierge, toi !" Voilà bien ce qu’Airi peut dire à tout le monde à tout moment sans avoir à mentir. Si un jour quelqu’un la voit faire la tête, bouder ou encore déprimer, c’est bel et bien que fin du monde est à notre porte.
Airi est une fille toujours motivée qui n’abandonne jamais et que rien ne pourra jamais abattre. Tous les tracas qu’il lui arrive ne la démontent jamais et ne font que la rendre plus forte; tomber dix fois, c’est ce relever onze fois ! Elle est toujours pleine d’énergie et son obstination appuie encore sur ce côté dynamique. Il semble bien qu'il existe en elle une divinité qui la remplit de force ! … Est-ce que quelqu’un a trouvé les piles ? Un peu de silence ferait du bien, aussi.
Une chose que l’on ne peut pas nier, c’est qu’Airi est particulièrement sociable. Souvent entourée de ses fidèles amis, elle aime quand même le calme et dans ses moments privilégiés ou elle est enfin en paix, elle se plait à parler un peu japonais ou anglais dans son journal de bord qu’elle chérit tant.

Le gros défaut d’Airi est qu’elle confond rêve et réalité. En effet, elle devrait souvent être déçue par tous ses films qu’elle se faisait et qui n’ont nul lieu d’être, mais sa grande vivacité lui fait toujours garder le sourire. Elle croit à ses propres rêves et agit comme s'ils étaient déjà la réalité, ou bien elle se laisse écraser par la réalité qu'elle ne saurait nier.
Une autre chose qu’on retrouve souvent chez Airi, c’est son cynisme omniprésent dans ses phrases. Il n’y a pas un jour ou elle ne sera pas ironique dans ce qu’elle dit.
On voit aussi beaucoup d’autorité dans le caractère de cette jeune fille qui ne supporte pas d’avoir à obéir à un quelconque ordre de n’importe qui que ça soit.

Votre histoire : Trois heure du matin, dimanche 11 février 1991, 4°C à Tokyo. Ma mère vient d’accoucher, mon père n’est pas là et n’est plus avec elle depuis longtemps. Elle s’occupe bien de moi en plus de son travail de caissière. On ne roulait pas sur l’or mais on vivait normalement mal. Cinq ans trois mois et vingt-deux jours après, on est parti en France. La vie là-bas était très dure et bien que je me débrouillais bien dans mes études, je fus contrainte d’arrêter mes études à 16 ans pour suivre les pas de ma mère et devenir caissière à mon tour.
C’est un jour en sortant du travail que je l’ai rencontré et que j’ai intégré la brigade Kekai. Le virus L venait d’être mis au point et une ville entière avait été rasée à cause de cette infection. Les personnes atteintes de la maladie devenaient une sorte de zombie omnivore et apparemment on pouvait les combattre, moi, Kasumi et Keishiiro. Moi et Kasumi nous nous occupions de la France et le rouquin du Canada. Quand nous avons dû aller le rejoindre dans le pays de la neige, il n’était plus là. Et puis on s’est faite kidnappées.
Je pense que c’est là que commence vraiment mon histoire. Vous vous êtes surement rendu compte que je vous épargnais les détaille de ma triste vie tellement banale jusqu’à présent… Alors commençons. Tout d’abord, on nous a bandés les yeux, pendant des heures et des heures. C’était horrible, il n’y avait aucun moyen de voir la moindre chose. J’entendais juste quelques autres coéquipières crier. Je me demande même si certaine n’avaient pas été violées or something… Après, on nous a placardé dans un avions. Les pions n’arrêtaient pas de gueuler. Le trajet était trop long et pas assez reposant pour reprendre des forces. Quand on nous a foutu dehors, il faisait encore plus froid qu’au Canada. Après un long moment de marche, on nous a parquées dans une pièce humide où on était serrée comme des sardines en boîte. Au bout d’un moment, ils nous ont pris un par un et ils nous ont piqué. Pas besoin de plus d’explications pour nous, on savait de quoi il s’agissait. Le virus L. Dès que j’ai été piqué, j’ai sentis une douleur à la tête. J’ai hurlé à la mort. J’avais l’impression que ce mal de propageais dans chacun de mes cheveux, de leur racine jusqu’à leur pointe, que cette horreur écrasait leur jolies boucles naturellement à l’anglaise châtain clair et les ébouriffaient dans tous les sens. Je m’écroulais au sol, pliée en quatre quand je sentis que ma vision commençait à se troubler Je voyais Keishiiro, derrière une cage et les lettres « p a n i q u é » flotter au-dessus de lui d’une écriture désordonnée. Puis plus rien. Le noir complet. Le criait de plus belle, horrifiée d’avoir perdue un sens si précieux que la vue. Comment allais-je pouvoir dessiner ? Voir l’expression de ma mère qui avait toujours été contre le fait que je rejoigne l’organisation de peur qu’il ne m’arrive malheur ? D’un coup je sentis comme quelque chose qui voulait serrer mon ventre, comme si ça voulait m’étrangler par ici. J’entendis une personne à côté de moi dire quelques mots comme « Ca dégénère, c’est une forme évoluée » ou quelque chose comme ça. J’ai eus l’impression que cette sensation de gêne durait des heures entières, même des jours. Une véritable éternité. J’ai souvenir que quelqu’un m’ai porté vers une autre salle et après, mon premier souvenir est celui du docteur P. . Il m’a dit de partir en courant. Au-dessus de sa tête flottait les mots « heureux » et « honnête ». Je suis resté sur le choc. Derrière lui, il y avait pleins d’autres homme en blouse blanche avec les mots « paniqué » flottant autours d’eux. Il me répéta ce qu’il avait dit juste avant et me donna un coup dans le dos.
- Qu’est-ce que c’est ? Interrogeais-je en tremblant et en montrant du doigt ces mots.
- Mes collègues, mais vite, dépêche-toi ! rétorqua-t-il
- Ne me prenez pas pour une imbécile ! J’ai compris ! Mais ces choses sur leur tête ? « Paniqué, paniqué, paniqué, effrayé, agité, étonné » Qu’est-ce que c’est que ces mots qui flottent dans les airs ? Criais-je avec un air de folle.
Le docteur me dévisagea et pris soin de me pousser légèrement jusqu’à la sortit entendant de me rassurer avec des mots calmes et lent, me disant que c’était normal, qu’on allait faire quelques tests et que ça disparaitrait mais je ne le croyais pas. Il était écrit « Menteur ». Je repérais ce mot à haute voix et l’homme en blouse blanche sourit tristement et m’avoua qu’il ne savait pas ce que c’était mais qu’ils allaient faire des examens pour savoir de quoi il s’agissait.
On m’emmena à l’hôpital et je passais une batterie de tests optiques mais on ne trouva rien alors on m’inscrit au pensionnat Kekai bien que j’eus fini mes études. C’est comme ça que je décrochai mon poste de professeur d’Art Plastique.

Groupe ? : La force people ! Admin power !

Validé :DDDDD

Merci C:

Bienv'nue =DD

Merci C:

» Si si!!! j''avais un cerveau... [pv: Airi]
» Le retour de sabako film #1 XD [pv: Airi & Akane]
» [ADMIN] Akane Hasegawa