Le retour de sabako film #1 XD [pv: Airi & Akane]

Aujourd'hui, on était jeudi et au lieu de me reposer en bouquinant un bon roman à la bibliothèque, il fallait que cette saleté et enquiquineuse de Kasumi me rappelle d'aller vérifié si mon formulaire d'inscription avait bien été pris en compte. J'y étais déjà allée la veille mais bon, rien ne m'en coutait d'y retourner une deuxième fois. Après tout, ça n'allait pas me tuer ! Enfin si, parce que je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit... La prochaine fois que Kasumi me demande quelque chose que je n'ai pas envie de faire, je l'envoie gentillement balader~
Je marchais d'un pas assez déterminé mais mes yeux se fermaient petit à petit, j'essayais tant bien que mal de ne pas m'écrouler de sommeil en plein milieu du couloir ou de me prendre un mur, une porte ou un élève. Des élèves venaient, passaient ou bien dscutaient. Quelques-uns me regardaient un peu bizarrement, je dois dire, surtout ceux du sexe opposé. Je préférais encore ne pas les regarder et continuer mon chemin, sans leur prêter attention. Les immenses fenêtres du couloir laissaient entrer une douce lumière à travers leur vitre.

A présent, j'étais arrivé dans le hall d'entrée du pensionnat. Le sol de marbre clair résonnait sous pas, étant donner que je portais des talons. Il n'y avait désormais plus aucuns élèves dans ces environs. Le silence était roi. Sur les murs, peints avec un bleu très clair, il y avait d'accrocher des tableaux d'artistes différents ainsi que de tailles différents. De "La chambre de Vincent à Arles" de Van Gogh au "Portrait de Staline" de Pablo Picasso et bien d'autres. Moi qui était une grande passionnée de peinture, la première fois que j'avais mis les pieds au pensionnat, tous mes rêves de petites filles avaient subitement refaits surface. Mais passons à autre chose.
Soudain, je m'étais arrêtée de marcher car j'avais aperçu une silhouette masculine, me semble-t-il, mais de dos. Je ne pouvais donc pas voir le visage de l'inconnu. Alors, tout en restant à l'emplacement où je m'étais arrêtée, je dis d'une voix curieuse :

- Euuh, qui êtes-vous ?

Puis, j'aperçus une fumée qui émanait de l'individu. Je sentis mes narines picotées et en déduis l'odeur que j'avais humé : du tabac.

- Il est interdit de fumer ici !!!, avais-je crié à l'inconnu, qui était toujours de dos.

Pourvu que les détecteurs de fumée ne s'enclenche pas !, je pensais, soucieuse.

Calme. Calme. Calme. Cet observatoire était définitivement trop calme pour y faire quoi que ça soit. Calée dans le renfoncement de la fenêtre, le visage collée au carreau, recroquevillée sur moi-même, je mâchouillais le coin d’un gros cousin rouge à pois blanc. Soudain, quelque chose de plus intéressant que l’araignée que je fixais depuis un moment attira mon regard. Un… TAXI ! Un jeune garçon surement un peu plus jeune que moi, dans les dix-sept ans, dans ses os là. Une longue fumée blanche émanait de sa bouche. Je fis une moue insatisfaite avant de jeter mon oreiller de l’autre côté de la pièce pour que celui-ci aille se cogner contre le mur de l’autre côté de la pièce pendant que je dévalais les escaliers menant à l’entrée du pensionnat. Les marches de l’observatoire étaient particulièrement raides et difficiles à descendre pour la raison suivante : c’était un escalier provisoire, en métal, comme ceux qu’on voit dans les chantiers. Me tenant à la barre pendant la plus part du trajet, arrivée aux deux dernières marches, je fis un long saut et partit dans une course effrénée. Je me ruais dans les escaliers, m’appuyant sur la rambarde à chaque palier pour mieux prendre le virage et aller d’autant plus vite. Arrivée aux rez-de-chaussée, je cherchais l’inconnu des yeux. La même fumée pesait dans toute l’entrée et l’horripilante odeur de tabac se répandait partout. Je partis dans un sprint, contournais Akane que je venais à peine d’apercevoir et sautait au cou du fumeur, lui arrachant sa cigarette de la bouche. Faisant une bonne trentaine de centimètre de plus que moi, je flottais assez loin du sol pendant que je le réprimandais.

- Mes élèves n’ont pas le droit de fumer ! M’exclamais-je, et vu que je suis les seule profs d’Arts, tous les élèves sont mes élèves !

Je me tournais vers Akane qui semblait être en train de lui faire une réflexion du même genre.

- AH ! Désolé, je t’ai coupé, tu peux continuer ce que tu disais, je t’en prie ! Continuais-je avec un grand sourire, toujours au-dessus du sol, portée par mon futur élève.

Rêveur, sabako avait le regard perdu dans le
vague lorsqu'un bruit de pas se fit entendre près de lui m'en-fin plusieurs Et, avant qu'il ait le temps de réagir, sa cigarette lui fut ôtée de sa bouche, éteinte puis balancée sans ménagement par terre a proximité, tandis qu'une voix se faisait entendre, lui signalant avec une pointe d'exaspération lui sembla-t-il qu'il
n'avait en gros pas le droit de faire ce qu'il venait de faire, justement.
Jetant un regard de regret au sol où se trouvait désormais l'objet de sa réprimande, il laissa échapper un léger soupir. En même temps, il s'en doutait un peu, tout de même. Ce n'était pas comme si personne n'allait réagir, les interdits étant faits pour être respectés. Pour les femmes qui se tenait devant lui, Sabako aurait choisi la première catégorie. Mais passons. Le jeune homme se décida enfin à poser son regard sur son interlocuteur.
Interlocutrices en vérité, il regardait d'abord la fille aux cheveux yeux de différente couleurs. Posant son regard sur son manque de poitrine et sa petite taille, la détaillant de haut en bas. Elle était donc professeure d'art plastique à
son âge... Elle n'avait même pas 10 ans... Il Écarquillait ses yeux bleus pour reconnaitre, la jeune demoiselle, elles ne l'avaient pas reconnu, sans doute, avant celui-ci était blond.

- Les prof' d'aujourd'hui vous ne savez donc pas vous amusez?! N'est-ce pas... Airi?

Dit-il en se retournant face aux deux jeune filles. Il lui sourit de sont sourire en coin de la bouche typique de lui. Quand il remarqua que la fille qui se tenait à côté de Airi était Akane, il la regarda de haut en bas il s'avança vers Akane, il se dit que c'était sans aucun doute le virus A qui leur avait donné cettes apparences. Il mit son bras autour de l'épaule d'akane Vu que ces deux demoiselle ne l'avait pas
reconnu il allait jouer de ça. Pourquoi pas en violé une?

- Dit moi, tes pas un peu trop veille pour être dans un
pensionnat? ta qu'elle âge?! 23 ans?! Oh qu'est- ce que je vois une ride! Mais ne t'inquiète pas les vielles femmes sont
toujours attirante quand elles ce fond de la chirurgie plastique ^^' mais bon
akane! dans quelque année ta poitrine tombera et ta peau
sera encore plus fripée.
Fini-il en lui chuchotant a l'oreille <<... c'est moi sabako...>>en poussant akane dans le placard a ballet avant de le fermé à clef. Il se retourna vers airi souriant de gloire, il s'avança vers elle a grand pas. Comment faire enragé Airi là était la question. Alors il se baissait pour être a la même auteur que celle si avant de la plaqué contre le mur et de l'embrassé en enfournant sa langue. Puis il mit sa main sur la potrine plate... de Airi et s'écarta d'elle.
- C'est quand que ça pousse monsieur?
En faite, il était venu ici pour s'amuser rien de plus. Et puis ce qu'il avait fait là, il le faisait pour enragé celle-ci. Il lui sourit avec le sourire le plus machiavélique qu'il avait.

- Ne t'en fais pas, Airi-chan, tu ne m'as pas coupé la parole ! , lui répondis-je en souriant.

Et je me retournais vers le jeune homme. Ce jeune homme aux grands yeux bleus, auquel j'avais jeté sa cigarette au sol, posa tout d'abord son regard sur Airi. On aurait dit qu'il... qu'il la déshabillé du regard... Je n'appréciais pas particulièrement sa façon malicieuse de nous regarder. Une envie de lui envoyer mon poing dans sa figure commençait à me titiller sérieusement. Et la vérification de mon formulaire d'inscription ? Cela pouvait attendre quelques minutes de plus.
Je le vis dévisager la pauvre Airi qui, malgré sa taille, était obligé de lever sa tête pour le regarder. Aucune expression n'était affichée sur le visage de mon amie.
Etrange, l'inconnu connaissait Airi, vu qu'il l'avait appelé par son prénom. Mais, elle n'avait pas l'air de le connaître, elle.
Soudain, il détourna son regard vers moi. Je le regardais dans les yeux assez neutrement. Et il commença à avancer vers moi et passa son bras autour de mes épaules. Je changeais instantannement d'expression et j'essayais tant bien que mal de m'éloigner de cet allumeur de première. En vain...

- Dit moi, tes pas un peu trop veille pour être dans un pensionnat? ta qu'elle âge?! 23 ans?! Oh qu'est que je vois une ride! Mais ne t'inquiète pas les vielles femmes sont toujours attirante quand elles se fonds de la chirurgie plastique ^^' mais bon akane! dans quelque année ta poitrine tombera et ta peau sera encore plus fripé.

- QUOOIII ??!!!## JE NE SUIS PAS VIEILLE, ESPECE DE- !!!!!!###

Le jeune homme me coupa la parole et me dit au creux de l'oreille, en chuchottant d'une voix calme et appaisée :

Mon visage resta figer de stupeur. Ce jeune homme... Ce sale vicieux... C'était... Oh mon Dieu ! Je n'eus pas le temps de prononcer quoi que ce soit qu'il me poussa dans le placard à balai et m'enferma à l'intérieur à clé.
Quand j'eus repris mes esprits, je me rendis compte que j'étais plongée dans l'obscurité et me souvins de ce qu'il s'était passé avant.

- ... ... ... ... SABAKO, LAISSES-MOI SORTIR IMMEDIATEMENT DE CE PLACARD !!!!!!!!!!!!!!!!!!! #####

Ca y est. Je venais de comprendre dans quelle situation et posture je me trouvais, à présent. Moi, dans ce placard et Airi à l'extérieur avec... Avec... ...

- ... AIRIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!!!! SAUVES-TOI X____X"""", je lui criais en vain dans mon placard. Je frappais sur les portes de fer de toutes mes forces à mes poings.